Et voilà, c’est le départ pour une nouvelle randonnée, direction Loèche-les-Bains (Leukerbad en allemand), une station thermale bien connue du Haut Valais. Ce sera le point de départ (et d’arrivée) de cette randonnée en boucle autour du Balmhorn.
Dans cette station, tous les parkings semblent payants. C’est déjà ce qu’il m’avait semblé lors d’une précédente visite. Pas facile donc de dénicher une place gratuite. Je pars du principe que le point de départ de cette rando est le parking qui se situe à l’entrée de la station (1327 m), juste à côté de la Dala.
Le mur de la Gemmi comme première étape
La première étape consiste à monter jusqu’au col de la Gemmi (2268 m). Oui, oui, c’est bien ce mur que tu vois s’élever au NNO devant toi. Une mise en jambe qui va tout de suite te mettre dans le bain ;-)
Bon, ok, si cette étape te paraît vraiment trop terrible, il y a aussi un téléphérique qui mène jusqu’au sommet de la Gemmi. Une expérience à couper le souffle, déconseillée aux personnes qui souffrent de vertige.
Pour ma part je vais monter à pied, histoire de faire ce tour du Balmhorn en bonne et due forme.
Au pied de la falaise, tu peux remarquer de petits panneaux solaires installés contre le rocher. Je me suis d’abord demandé s’ils avaient pensé aux randonneurs et proposaient des stations de recharges pour smartphone. Mais non ! En observant mieux, tu verras aussi des spots. Apparemment, ils servent à éclairer la falaise de nuit. En tout cas c’est ce que j’en ai déduit.
Bien que la falaise semble infranchissable, il y a un beau et large chemin qui s’élève dans les rochers jusqu’au sommet. Il y a largement la place pour croiser avec les personnes qui descendent de la Gemmi.
La montée est magnifique, offrant une belle vue d’en haut sur Leukerbad. Le sentier qui serpente est soutenu par des murs de pierres sèches avant de longer la falaise, pour t’emmener au coeur de la paroi. Alors oui, c’est vrai, l’effort est soutenu. Le lieu est cependant remarquable.
À certains moments, le bruit de voix est renvoyé par les murs de pierre. Cela confère au lieu une ambiance de château hanté. Avec l’écho, il est très difficile de situer où se situent les personnes qui parlent. Plutôt vers le haut ou vers la bas ? Comme pour exacerber l’ambiance, il y a parfois des cris d’oiseaux qui se mêlent aux voix humaines. Tout un spectacle sonore je te dis !
Avant d’arriver au sommet, un sentier mène au départ de la via ferrata. Il paraît que c’est la plus longue de Suisse en durée. Et, dans cette face, je te laisse imaginer le vide sous tes pieds. Brrrr, très peu pour moi !
Juste en dessous du débouché des des falaises, je suis accueillie par un sifflement strident. Le temps de lever les yeux, j’aperçois un magnifique bouquetin, sur la crête. Il semble annoncer sa présence. Peu farouche, il fait mine de descendre à ma rencontre. Il fait quelques pas de danse dans les rochers juste en dessus, avant de disparaître du côté du col.
Arrivé au col (2268 m), un petit vent frais m’invite à enfiler une couche supplémentaire. Ici, la montagne semble abandonnée. C’est l’effet que me donne une vieille bâtisse blanche aux façades décrépies, qui semble complètement inhabitée. Lugubre ! Un peu plus haut, un bâtiment flambant neuf, le Berghotel Wildstrubel, contraste avec l’ancien et redonne un peu de vie au panorama.
La gare amont de la télécabine se trouve juste à côté. C’est là que tu débouches si tu es monté par ce moyen.
Nuitée en-dessous de Schwarenbach
Bon, c’est maintenant le moment d’amorcer une longue descente sur un chemin de 5e classe (chemin rural). La pente est douce, le chemin longe le Daubensee, avant de rejoindre l’hôtel Schwarenbach (2060 m). Je suis content de voir, au loin, les lueurs de l’hôtel, alors que la nuit est en train de tomber. En quittant ce lieu, j’ai l’impression de retourner à ma solitude, tournant le dos au dernier rempart de civilisation.
Encore quelques minutes de descente et me voilà prêt à monter le camp, juché sur une petite colline, tout proche de la frontière entre le canton du Valais et celui de Berne. L’endroit m’inspire bien !
Comme je me sens un peu écœuré à l’idée de manger quoi que ce soit, je me prépare pour la nuit, sans passer par l’étape popote.
Le lendemain, je me réveille avec les lueurs de l’aube, prêt à continuer mon périple. De la petite route, tu vas passer à un sentier qui longe la rivière Schwarzbach, à travers la forêt. Par endroit, le sentier est rendu glissant par les pierres encore mouillée de la pluie de cette nuit. Il s’agit de bien être attentif si tu passes par là par temps humide. Par endroit, c’est un vrai casse pipe ! Le paysage est cependant très agréable, entre forêt, gorges et cascades.
Arrivé à Waldhus (1357 m), j’ai l’impression de retrouver un peu de civilisation : des vaches, des paysans, une auberge… L’auberge de Waldhus est d’ailleurs un endroit où tu peux manger et dormir sur le parcours. J’avais entendu parlé de cette auberge il y a longtemps et je m’étais toujours dis que j’y séjournerai un jour. Ce sera pour une autre fois !
Depuis Waldhus, tu peux également rejoindre Kandersteg. Cette station de ski l’hiver est aisément accessible par le train. Elle peut constituer un autre point de départ et d’arrivée à cette randonnée.
Traversée du Gasterntal
Ok, c’est parti maintenant pour la longue traversée du Gasterntal. C’est un lieu magique comme je les aime : une rivière sauvage, la Kander, qui serpente au milieu des forêts. À certains endroits, des places de pique-nique improvisées avec plage de sable. L’été doit être un paradis dans ce haut lieu de l’oberland bernois !
À cet endroit, bien plus bas sous la terre, passe le tunnel de base du Lötschberg, qui va de Frutigen à Viège. Un passage du trafic ferroviaire important entre le nord et le sud des alpes.
Plus loin dans la vallée, la Kander traverse des gorges, avec le bruit assourdissant qui règne dans ce genre de lieu. Je me nourris de ce paysage !
Bon, pour la suite du parcours, tu te retrouves à nouveau sur des chemins plus abrupte. C’est la montée vers le Lötschepass.
La première partie se déroule dans la forêt, puis dans la verdure, sur un petit chemin qui serpente le long des pentes escarpées. Plus haut, un endroit attire mon attention : l’herbe y ressemble au gazon parfaitement entretenu d’une villa. Et de manière totalement naturelle. Incroyable ! Si j’avais prévu de bivouaquer bientôt, c’est à coup sûr là que j’aurais établi mon camp. Bon arrête de rêver Nicolas, il reste encore du chemin à parcourir !
Aïe, un glacier à traverser !
Après une courte pause repas, je continue donc à grimper jusqu’à Balme (2403 m). De là, j’ai une belle vue sur le Lötschegletscher. Oui, oui, le sentier passe sur le glacier. C’est la partie du parcours sur laquelle j’avais un gros point d’interrogation. Comme je suis seul, je n’ai aucune possibilité de m’encorder. À première vue, le glacier est tapissé de blocs de pierre, sans glace vive apparente. Il semble donc tout à fait praticable sans crampons. Le chemin semble bien tracé, avec des balises bien visibles tout le long du parcours. Je me sens rassuré et décide de tenter le coup. Je me dis toutefois que, s’il y a un passages que je ne « sens » pas, je rebrousserai chemin. J’avais d’ailleurs dès le départ, lors du repérage sur carte, envisagé cette possibilité. J’ai donc prévu une variante.
Bon, finalement le passage se fait sans difficulté majeur. Arrivée de l’autre côté du glacier, sur la moraine, j’assiste cependant à deux éboulements. Pour le premier, je vois clairement un gros bloc de rocher rouler du haut vers le bas de la moraine. Plus loin dans le montée, j’entends le bruit terrifiant d’un second éboulement, vraisemblablement une chute de sérac. La scène est masquée par le brouillard. Elle se situe cependant plus haut sur le glacier.
Le chemin que je viens de traverser était à l’abri des deux éboulements. La prudence reste cependant de rigueur dans cet environnement de haute montagne.
La suite du parcours jusqu’au col s’effectue dans la neige et par un vent glacial. Sur la montée, certains passages sont en glace et tu auras besoin de redoubler d’attention à chaque pas si tu passes par là dans ces conditions. Un peu en dessous du col, je croise un groupe d’une dizaine de personnes sur la descente, tout encapuchonnés. Ce sont les seules personnes que je vais croiser sur tout le parcours, hormis dans les alpages ou visible à travers les vitres des cabanes.
La Lötschenpasshütte disparaît dans le brouillard !
Et me voilà à nouveau à cheval entre la frontière bernoise et valaisanne. Cette frontière qui passe d’ailleurs par le sommet du Balmhorn (3698 m) et de l’Altels (3629 m), ces sommets dont nous faisons le tour ensemble.
C’est également ici le franchissement du Lötschberg, que tu as peut-être franchi par le rail, dans le tunnel quelques kilomètres en-dessous. Aujourd’hui, tu découvres une nouvelle manière de franchir le Lötschberg, ce célèbre axe nord-sud ;-)
Visible depuis le Lötschepass (2689 m) il y a un instant, la Lötschenpasshütte a disparu dans le brouillard. Heureusement le chemin est encore bien visible, malgré la neige. Là, tu vas donc passer devant la cabane, avant d’entamer la descente vers l’alpage de Kummenalp.
Oui, j’avoue : en passant devant la cabane et en voyant des montagnards à l’intérieur, attablés devant une bonne soupe, j’ai presque eu envie de les rejoindre. En même temps, je n’ai pas froid, je me sens bien, et je sens que je peux continuer. Donc let’s go !
Le début de la descente s’effectue encore dans la neige dont l’épaisseur atteint le haut de la cheville par endroit. Le chemin est bien signalisé, ouf. Il passe près d’un petit lac avant de plonger sur la vallée par un sentier à lacet. Bien praticable, j’en suis ravi !
Un peu plus bas, le terrain est à nouveau découvert et sec. Juste avant d’arriver à Kummenalp (2086 m), je m’arrête devant un buisson de myrtilles qui me tend les bras. Humm, un vrai délice ces baies, tellement rafraîchissantes. Un vrai festin je te dis !
À l’alpage, quelques chasseurs épient de leurs jumelles d’éventuels gibier. Il me semble bien que ce samedi c’est le dernier jour de la chasse haute. Ici, tu peux également trouver la Gasthaus Kummenalp, un endroit pour te restaurer et passer la nuit.
Le temps de traverser la route qui serpente entre les chalets, de remplir ma gourde, me voilà reparti vers les sommets enneigés. Sur la descente depuis la cabane, j’ai repéré un plateau un peu plus haut. Vu de loin, l’endroit me semblait idéal pour installer ma tente. Je serai dans la neige, soit, cela me permettra cependant de m’approcher un peu plus du Ferdenpass, ma prochaine étape du lendemain.
Encore un peu de marche et je vais enfin pouvoir me reposer. Ma cheville droite me fait mal. Durant la descente, à un moment, j’ai presque cru ne plus pouvoir continuer. En respirant bien, en buvant un peu d’eau, la douleur s’est atténuée. Ce soir je prendrai un peu d’Arnica en homéopathie pour soulager tout ça.
Bivouac dans la neige
Sur la montée au col, je trouve l’endroit idéal pour bivouaquer : un petit coin bien à plat. Et ce soir je vais me préparer un bon plat chaud ! Un repas lyophilisée de chez Trek ‘N Eat que j’ai décidé de tester (le résultat pour bientôt, promis). Donc ce soir, chili con carne au menu ! Avec le froid ambiant, ça fait un sacré bien ! Ni une ni deux, après le repas, je plonge dans les bras de Morphée.
La nuit n’a pas encore été trop fraîche : près de 0°C dans la tente au petit matin. Bien blotti dans mon sac de couchage, j’ai eu bien chaud. J’avais préparé des affaires supplémentaires au cas où j’aurais froid, même pas eu besoin de les mettre. Il faut dire que je suis impressionné par mon matelas de sol. Je n’ai pratiquement pas ressenti de froid de ce côté-là alors que j’étais couché sur la neige. Enfin avec le matelas entre deux ;-) Je te reparlerai de ce matelas, c’est un élément important pour passer une bonne nuit en bivouac.
Ce matin, j’ai un peu de difficulté à enfiler mes chaussures. Je les ai laissées dans l’abside et elles sont partiellement gelées, notamment les lacets qui sont tout rigides. J’arrive tout de même à les enfiler et avec la chaleur des pieds, elles deviennent un peu plus souples.
Le temps de ranger les affaires, démonter la tente et me voilà parti, direction le Ferdenpass (2821 m). La première partie de la montée se passe très bien. Le chemin est certe enneigé, mais la voix est facile.
Un passage de col éreintant !
Un peu plus haut, je me retrouve dans les éboulis, de gros blocs de pierre à travers lesquels le chemin passe. Et là c’est une autre affaire ! Avec la neige, la glace par endroit, le chemin devient beaucoup plus délicat. Je peste contre les bâtons, que je trouve bien inutiles dans ce terrain là. Je préfère continuer mains nues.
Ainsi, l’arrivée au col me rempli de joie. J’aurais vraiment sué durant cette montée. Je reste peu de temps au sommet, la température reste relativement fraîche.
À la descente, dans la première partie, je retrouve le même type de terrain à éboulis. En plus, difficile de voir le marquage du sentier, duquel je m’éloigne à plusieurs reprises. Là j’avoue que je commence vraiment à en avoir marre. En même temps, que faire d’autre que continuer ?
À un moment je trouve un couloir avec du pierrier et me dis que je vais redescendre par cette endroit là, que ce sera moins fatiguant. Comme le pierrier est en partie gelé, cette alternative ne se révèle pas aussi facile que j’avais imaginé. Comme la pente est raide, j’ai au moins l’avantage de perdre plus rapidement de l’altitude.
Le retour sur Leukerbad : facile !
Je rejoins finalement le sentier qui devient maintenant beaucoup plus praticable, puis, un peu plus bas, me retrouve dans les pâturages. Quelle joie ! Dans cette partie, je te recommande de vraiment bien observer et de suivre au mieux le sentier. Et éventuellement d’éviter d’y passer par temps de neige !
Le chemin de retour sur Loèche-les-Bains me paraît maintenant bien facile ! Entre torrents, cascades et prairies, le paysage est revigorant. En arrière-plan, j’observe les sommets enneigés, des bras de brouillard qui se font et se défont. Après un grand moment de fatigue au moment du passage du col, je me sens à nouveau reboosté, dans mon élément.
J’en profite pour faire un petit détour par les gorges de la Dala. Un très beau spectacle, avec des passerelles qui te permettent d’être au cœur des gorges. Sur le parcours, tu peux même admirer une petite baignoire de plein air dans laquelle se trouve de l’eau chaude. L’occasion d’une petite trempette, qu’en penses-tu ? Bon l’endroit n’est pas très accessible. J’ai pourtant vu une personne s’y baigner lors d’un précédent passage.
Quelques instants plus tard, je retrouves ma voiture, ravi ! C’était une belle balade. Je réfléchirai cependant à deux fois avant de la refaire dans ces conditions !
Conclusion
Une belle balade, plutôt à prévoir fin août ou dans le courant du mois de septembre. Vérifie qu’il n’y ait pas de neige ou de prévisions de neige sur les sommets, ce sera plus tranquille… sauf si tu apprécies les terrains difficiles ;-)
Tu peux l’envisager sur plusieurs jours, idéalement trois jours avec cinq à six heures de marche quotidienne (à vérifier selon ta condition physique).
Il y a de nombreux lieux pour dormir ou te restaurer sur le parcours (voir les liens utiles). Dans tous les cas, je t’encourage à prévoir une bonne paire de chaussures, rigide ou semi rigide, des habits chauds, une bonne veste pour te protéger du vent et de la pluie, un piolet ou des bâtons de marche.
La traversée du Lötschegletscher ne semble pas poser de problème particulier. Le sentier semble avoir été tracé pour être à l’abri des éboulements dont je te parlai dans l’article. La prudence reste de mise, notamment par un comportement adapté à ce genre d’endroit. Typiquement, je ne traverserai pas en short et t-shirt, même en été. Pantalon et veste me semble un minimum de rigueur pour une traversée de glacier.
Le petit plus bienvenu
À l’arrivée à Loèche-les-Bains, une baignade dans un des termes me semble le petit délice de fin d’excursion. En effet, quoi de mieux que de te détendre dans des bains chauds après cet effort. Ma préférence va au Burgerbad, que tu peux facilement repérer avec ces piscines extérieures, notamment en montant au col de la Gemmi depuis Loèche-les-Bains. Je te recommande particulièrement la grotte avec son eau très chaude, puis le bain dans l’eau fraîche. À faire trois fois pour retrouver tout ton tonus. Effet garanti ;-)
Liens utiles
Point de départ et parcours
- Le point de départ de la randonnée, le parking à l’entrée de Loèche-les-Bains sur Google Maps.
- Le parcours de la randonnée sur SuisseMobile
Hébergement, restauration et détente
- Le Berghotel Wildstrubel (2315 m) au col de la Gemmi
- L’hôtel de montagne Schwarenbach (2060 m) en descendant de la Gemmi vers le Gasteretal
- L’auberge de Waldhus (1357 m), à l’entrée du Gasteretal
- La Lötschenpasshütte (2689 m), au Lötschepass
- Le Gasthaus Kummenalp (2086 m) au Kummenalp
- Burgerbad ou Leukerbad Therme : à Loèche-les-Bains, l’instant détente de fin de balade
Isaline
Hello, merci pour toutes ces infos, ça a l’air magnifique. Je compte partir début septembre et plutôt passer par le col de Resti qui est un peu moins haut.
Peux tu me dire à quelle période tu l’as fait? Les myrtilles indiquent une fin d’été mais le temps plutôt l’hiver!!! Merci d’avance.
Nicolas
Hello Isaline,
J’ai fait cette rando le 6 octobre 2019. Il y avait effectivement des conditions hivernales sur une partie du parcours, ce qui peut arriver à cette saison. En tout cas j’en garde d’excellents souvenirs et te souhaite de bons moments sur cette belle rando. N’hésite pas à revenir me dire comment ça s’est passé pour toi…
AD
Bonjour,
Belle balade !
Pourriez-vous SVP me dire le dénivelé, la distance et le temps pour chaque jours ?
Ce trek me tente bien mais je veux eviter de me lancer dans quelque chose de trop compliqué !
Merci d’avance 😊
Nicolas
Hello,
Tu trouveras le parcours en fin d’articles, dans les liens utiles (le parcours de la randonnée sur SuisseMobile). Tu pourras ainsi adapter le parcours à ta manière de randonner.
Et si tu as des questions, envoie-moi un message via le formulaire de contact du site 😉
Bonnes randos
Haas
Salut , il est impossible de télécharger ton parcours
Tu dois donner l’autorisation
Est-ce possible stp ?
Nicolas
Hello, ok je t’envoie le fichier gpx par email, ce sera plus simple